
L’État a commencé à rétablir l’électricité dans certains quartiers, et beaucoup de foyers accueillent cette nouvelle avec soulagement. Mais pendant que la lumière revient dans les maisons, l’insécurité, elle, reste bien présente dans les rues.
Des tirs, des kidnappings, des quartiers contrôlés par des gangs : la peur continue de dominer le quotidien. « À quoi sert l’électricité si on vit toujours dans la terreur ? » se demande un habitant.
Le courant revient, mais la vraie paix, elle, se fait encore attendre.